On a trouvé un modèle qui permet que ces deux circuits là sont complémentaires et non pas en confrontation.
Je ne me définis pas comme une entrepreneuse née, mais comme quelqu’un de curieux qui a eu envie d’avoir un vrai rôle.
Il faut porter son projet et se sentir légitime tout comme un entrepreneur aux manettes de sa boite.
Il faut rester à l'écoute et ouvert aux critiques pour adapter sa proposition
On a vite pris conscience que la semaine de 4 jours mettait en exergue tout ce qui dysfonctionne ou fonctionne à peu près dans l’organisation
Si on attend que tout soit bien bordé, bien sécurisé, il y a un risque de ne jamais se lancer
On se sentait pas légitimes pour pleins de raisons qui maintenant nous semblent dérisoires.
Faites une marque qui est cohérente avec vous, de manière à ce que vous puissiez bien en parler.
On challenge nos différentes parties prenantes avant tout sur l'écologie
La question de la rémunération cache la question de la relation que nous avons au travail
Chacun est porteur de savoir pour les autres.
Avant sur les emballages il y avait des tableaux incompréhensibles, conçus pour éviter de donner une vraie transparence aux aliments : il fallait que ça change
Enrichis toi de ce que les autres ont vécu
Pour l’engagement des collaborateurs, c’est important de rester cohérent.
Nos études peuvent avoir un impact dans une voie professionnelle que l’on n’avait pas imaginé !
Quand on veut du changement dans une entreprise, il faut des ambassadeurs.
On a à coeur d'embarquer toutes les parties prenantes, que ce projet devienne le leur aussi.
On ne progresse qu’en mesurant.
On part du rêve des gens !
C’est OK de ne pas savoir et de poser des questions
On a pu embarquer tous les collaborateurs !
Le challenge il fallait vraiment qu'on le transforme en opportunité.
L’enjeu, c’est d’aller chercher tout le monde. Si on ne partage pas d'idéal et qu'on le fait pas partager surtout, la capacité à se transformer sera beaucoup plus faible.
Il a fallu trouver des méthodes de travail qui nous correspondent à tous les deux.
Rebondir d'un statut à un autre m'a toujours permis d'apprendre tout au long de ma carrière.
L'écoute du client a été le fil rouge dans mes activités.
Reprendre confiance et se sentir légitime pour lancer son projet !
Garder le cap et continuer à mener ses actions !
Oser transiter vers un nouveau secteur et changer complètement de voie !
Et si l'été était le moment idéal pour repartir d'un bon pied avec la personne qui partage sa vie... professionnelle :) ?
Découvrez 2 épisodes pour vous aider à réinventer votre job !
Avoir des personnes différentes dans une entreprise est source d’innovation.
En tant que réplicateur, le projet tu l’adoptes, la communication tu l’adaptes.
Pour se lancer à deux, il faut faire de son honnêteté une vrai force sans jamais avoir l'impression de perdre une partie de soi.
Plus on est clair sur le besoin, plus on arrive à trouver des personnes qui correspondent.
J'avais expérimenté une unité de vie forte dans ma mission au Chili et j'avais envie de la retrouver dans mon travail.
C'est important de miser sur ses qualités et arrêter de se forcer à faire des choses dans lesquelles on n'est pas bon.
Devenir expert c'est tester ses idées directement sur le terrain et apprendre sur le tas.
On est obligé de repenser la chaîne de valeur, il faut être cohérent sur toute la ligne
Je ne veux pas attendre que quelqu'un vienne me délivrer un savoir, je vais le chercher
J'ai trouvé du sens en mélangeant mes deux métiers !
Ce que je pensais être une faiblesse est devenu ma plus grand une force.
Mon métier : fédérer des acteurs qui traditionnellement ne travaillent pas ensemble !
Aujourd'hui, après ce MooC et beaucoup d'heures de travail, Anacaona en 2020 c'est 8 employées à temps plein
3 podcasts pour nous aider à passer le mois à venir !
Découvrez les 3 nouveaux épisodes de cette playlist spéciale confinement !
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Le Burn-out n'est pas une case qui te suit toute la vie.
Un bon leader, c'est quelqu'un capable de former d'autres leaders.
C’est important que quelque soit le chemin que je choisisse, il devienne le bon pour moi.
C’était important de venir en complément de ce qui existe déjà, pour créer de la valeur ajoutée.
Ne pas se forcer à être quelqu'un qu'on n'est pas sur les réseaux sociaux car ça se voit !
Quand on construit et qu'on maîtrise son idée entrepreneuriale, on se sent légitime.
J'étais tellement convaincue du sens que ça avait pour moi que ça m'a aidé à faire fi des difficultés.
La bonne chose en ne faisant partie d'aucune case, c'est que ça nous rend capable de tout.
Il ne faut pas attendre que les opportunités arrivent. Il faut aller les chercher.
J'avance toujours avec plusieurs plans en tête.
Le fait d'être trop rationnel nous empêche de vivre nos rêves
L'important, c'est de rester humble face à des problèmes qui nous dépassent tous.
Si tu crois vraiment à ton idée, vas-y fonce, travaille ton produit, itère, tu vas y arriver et tu vas réussir à convaincre.
Quand on ne connaît pas un secteur, on ne connait pas les codes. Il faut oublier les codes quand on entreprend !
Organisation décentralisée, chacun peut, chez Makesense, prendre des décisions sur les sujets qui lui tiennent à coeur.
Il faut faire les choses avec sincérité, simplicité, et que ce qu'on prône en terme de fonctionnement se traduise par de l'exemplarité
Ma recette pour développer les parcours d'engagement c’est de faire seule, de faire avec quelqu’un, puis enfin de faire faire en toute autonomie.
Même si les valeurs de départ sont des valeurs perso, il est important d'accepter qu'à un moment cela nous dépasse. Cela devient les valeurs d'un collectif.
On arrive en haut de l’escalier quand les gens sont acteurs et contribuent activement au changement de l’entreprise.
Je suis convaincu que c’est par la transparence qu’on gagne la confiance des consommateurs.
Quand je suis arrivée chez Ticket, je n'avais jamais fait de podcasts. Aujourd'hui, on a lancé Vécus, et ça marche bien.
Il y a 2 ans j’étais responsable marketing dans une grande entreprise agro-alimentaire. Aujourd’hui je co-dirige On Purpose.
Progressivement on est passées de 'mon projet' à 'notre projet'.
Mettre ma tête sur internet, ce n’était pas naturel pour moi. J’ai mis pas mal de temps à me décider de me lancer sur Youtube.
Je me suis confrontée à un manque de réseau & de légitimité qu’on peut ressentir quand on vient de quartiers populaires.
J’ai décidé il y’a 3 ans de monter une micro-ferme de 14 hectares avec mon associée. On s’installe cet été avec nos familles.
Il faut se décomplexer de demander de l'argent & prendre ça comme un jeu.
Je n’avais pas de chômage. Je me suis donnée 3 mois pour gagner ma vie.
On reste souvent avec l'envie d'opposer. J'ai envie d'être dans le "oui ET" plutôt que dans le "oui MAIS".
Toucher le fond physiquement, émotionnellement, financièrement : il n’y a rien de tel, on ne peut que rebondir.
Quand j’ai démissionné de mon travail et que je me suis lancé, je sentais qu’il y avait un besoin. Mais je ne savais pas où j’allais.
J’aime bien comparer le fait de contacter des influenceurs au fait de draguer. Plus on se prend des bâches plus c’est facile de se prendre des bâches.
Je me suis plusieurs fois dans ma vie dirigé vers un secteur qui n'était pas du tout le mien.
Une partie de soi se dit qu'il faut changer, mais elle n'est pas encore assez forte pour prendre le dessus sur un confort de vie.
J'ai dû, au début de mon projet, rencontrer en tête à tête 80 personnes pour leur expliquer mon idée.
Tant qu'on a l'impression que vendre c'est prendre, on limite l'impact qu'on peut avoir.
On avait 2000€ de côté. Il nous fallait 110000€ pour se lancer.
Si je m'étais posé la question de ma légitimité je n'aurais jamais lancé ma chaîne YouTube.
Je suis une jeune femme de moins de 30 ans qui navigue dans un monde d'hommes qui ont plutôt la 50 aine. Une position particulière.
Il faut s'entourer de gens critiques et bienveillants et qui peuvent faire des connexions.
Il est beaucoup plus fort de faire des choses convaincantes, plutôt que d'essayer de convaincre.
L'intéressant ça n'est ni l'échec ni la victoire. Mais ce que tu en apprends.
On peut trouver différentes astuces qui permettent de vivre sans être rentables au départ.
On était jeunes, on n'avait pas de capital, pas d'économies et pas de famille pour nous aider. Ni même une idée. Mais un problème à résoudre !
Je débarque en France en connaissant à peu prés personne. Et j'envoies une 60aine d'emails avec pour objet "Bouteille à la mer d'un vidéaste passionné".
L'idée c'est de n'envoyer ni son entreprise ni son mariage dans le mur, et de passer un peu de temps avec ses 5 enfants.
Vacances de Noël 2014 : j'étais tout seul au sous-sol de notre incubateur pour finaliser les comptes. De la spéléologie de dernier moment.